Dr SMARRITO I chirurgien esthétique FMH
blépharoplastie, je réponds à vos questions…
QUI EST LE MEILLEUR CHIRURGIEN POUR UNE BLEPHAROPLASTIE ?
Si vous cherchez le meilleur résultat de blépharoplastie…
Il faut accorder de l’importance à la consultation, à l’écoute et aux explications données. Il n’y a jamais de cas identique. En revanche, certaines régles, voire astuces chirurgicales doivent être connues pour avoir un résultat satisfaisant. C’est toute la différence entre un bon résultat et un résultat excellent.
Le dessin pré-opératoire est aussi une étape importante. Le savoir faire permet d’avoir un effet liftant. C’est cet effet liftant qui corrige l’aspect éteint ou triste du regard. C’est la signature d’un bon chirurgien esthétique. Il faut savoir choisir le niveau des cicatrices, leur taille, leur longueur, leur position. Il faut aussi bien évaluer la quantité de peau à retirer sur les paupières supérieures et la quantité de poche graisseuse à retirer pour les paupières du bas.
Le choix des techniques est très important pour avoir le meilleur résultat. Le docteur Smarrito emploie des techniques modernes, voire innovantes. Par exemple depuis 20 ans, il réalise les blépharoplasties inférieures par voie conjonctivale (sans cicatrice externe). En conséquence, les poches sont retirées mais l’oeil garde son aspect normal et ne peut pas être déformé.
Nos conseils pour faire le bon choix : dernière interview radio du docteur Smarrito sur le sujet…
Bonjour Dr. Smarrito, nous allons aujourd’hui parler d’une de vos grandes spécialités, la blépharoplastie. Pouvez-vous tout d’abord vous présenter en quelques mots ?
Alors je suis le Dr. Stéphane Smarrito, chirurgien esthétique. J’ai réalisé ma formation chirurgicale à Paris ou j’étais chef en chirurgie plastique pédiatrique, puis chef des grands brûlés, puis chef à l’hôpital Rothschild pour la chirurgie esthétique pour adulte. J’ai donc fait un début de carrière dans les hôpitaux avec plutôt une activité d’esthétique soutenue, puisque j’étais dans le plus grand service français, mais aussi une grande part d’activité réparatrice lourde. Je suis suisse et vit depuis plus de 20 ans en Suisse à Vevey et j’ai donc développée mon activité sur la Riviera avec une clientèle tant valaisanne que vaudoise mais aussi internationale.
Vous êtes connu comme un des meilleurs spécialistes actuels en Suisse pour la blépharoplastie. En quoi consiste cette intervention ?
Il n’y a pas de classement du meilleur chirurgien pour la blépharoplastie, mais l’excellence du résultat est dû à la gestion des détails.
J’avoue ne pas faire que la blépharoplastie, d’autant que lorsque j’étais jeune interne j’avais une appréhension vis-à-vis de de cette technique. Au fil de 20 années de carrière, je n’ai plus l’appréhension mais une parfaite maîtrise de l’anatomie et une compétence technique qui m’ont permis d’appréhender cette chirurgie, qui n’est pas difficile mais qui nécessite une précision importante et aussi une certaine expérience. C’est au fil des années qu’on devient un bon oculoplasticien. La différence par rapport à des collègues débutants se fait principalement sur la qualité des résultats. Où sont placés les cicatrices, le fait qu’elles sont peu visibles. Je réponds souvent à l’appréhension des patients qui craignent que leur œil soit transformé mais dans les techniques que j’emploi, il n’y a aucun risque à cela. À quelque part le chirurgien doit être extrêmement bien formé pour la chirurgie des paupières et en sens inverse les patients doivent sélectionner un chirurgien qui a une certaine expertise, je dirais même une aura locale.
La Suisse est connue pour ses tarifs, qui sont plus importants que ceux en France. Pourquoi ?
Concernant la blépharoplastie c’est une idée reçue. En effet, la plupart des interventions sont réalisées sous anesthésie locale, notamment pour les blépharoplasties supérieures, et contrairement à la France la Suisse dispose d’Offices Surgery, c’est-à-dire que les chirurgiens ont à disposition leur propre clinique ce qui fait que le patient ne paye pas à double, d’une part le chirurgien mais aussi la structure. Ainsi on a des tarifs parfaitement comparables à ceux d’un collègue français, qui se verra obligé d’aller vers une clinique pour opérer et donc les patients quelque part on, soit le même devis, soit des tarifs plus importants à prestations égales. En revanche, la Suisse fait le pari du haut de gamme et de la qualité, donc il y a une culture de la sécurité et un savoir-faire élitiste. Ce n’est un secret pour personne.
Vous parlez souvent de chirurgie esthétique sur mesure. Pouvez-vous nous expliquer en quoi cette approche est différente pour un meilleur résultat ?
Oui, effectivement, je considère qu’il n’y a pas une chirurgie esthétique mais des chirurgies esthétiques. Un acte chirurgical n’est pas meilleur pour la blépharoplastie qu’un autre, cela dépend de l’anatomie de départ. C’est bien le talent du chirurgien esthétique et notre formation répond à cela, que de s’adapter au cas par cas en fonction du souhait du patient, d’anatomie, voire des difficultés rencontrées lors de l’intervention. Toute la culture du chirurgien esthétique, de par sa longue formation (plus de 17 ans dans mon cas), fait que nous sommes des gens qui nous adaptons à la situation. Ainsi, s’il y a des schémas classiques de chirurgie des paupières ou de blépharoplastie, bien souvent maintenant nous faisons des chirurgies complexes associant divers gestes.
Quelles sont ces gestes ?
Alors, le geste le plus fréquent est la blépharoplastie supérieure. On peut dire que c’est une chirurgie cutanée, puisqu’elle ne concerne en rien l’œil elle est vraiment en surface, il n’y a d’ailleurs aucun risque pour le globe oculaire sauf cas exceptionnel. Elle permet d’enlever de la peau en excès et selon la technique que je pratique, là encore sur mesure, la cicatrice est cachée dans les rides et dans le pli de la paupière et permet d’avoir un effet de lifting très impressionnant, sans pour autant signer un côté artificiel. La blépharoplastie inférieure : j’applique une règle d’or depuis plus de 20 ans, qui m’a été enseigné par un de mes maîtres, je n’enlève pas la peau, sauf dans des rares cas où nous réalisons des toutes petites blépharoplasties millimétriques qui s’appellent des « pinch blépharoplastie ». La peau de la paupière inférieure doit être respectée sinon l’œil peut avoir un aspect transformé. On appelle cela l’œil rond et c’est quasiment irréparable. En 20 ans de carrière, je n’ai jamais eu de cas d’œil rond dans ma clientèle. J’ai été probablement un des premiers à apporter la chirurgie des poches de la paupière inférieure par voie conjonctivale, que je pratique depuis plus de 20 ans. Cette chirurgie à l’intérêt d’aller diminuer le volume disgracieux qui donne l’air fatigué, sans pour autant laisser de cicatrice externe. C’est une chirurgie nécessitant le meilleur du chirurgien et une certaine expertise, puisqu’effectivement dans ce cas-là le patient ne doit pas bouger et nous sommes au contact du globe oculaire. Depuis quelques années, je développe la chirurgie 3D, qui associe en fait la blépharoplastie supérieure, la blépharoplastie inférieure et un remodelage de la zone, notamment le cerne. J’ai d’ailleurs inventé une nouvelle technologie sur le cerne, qui a été brevetée, permettant des résultats de blépharoplastie différents. Il s’agit vraiment d’une nouvelle chirurgie du regard.
Les gens ont souvent peur de ne plus se reconnaître ?
Je suis tout à fait d’accord avec vous. Les réseaux sociaux et les émissions à sensation véhiculent des visages surfaits, transformés. Ce n’est pas du tout mon registre. J’ai la chance de faire des congrès dans le monde entier et des conférences auprès des collègues les plus éminents. Je prône depuis le début de ma carrière un aspect naturel et respectueux de l’anatomie. Si on respecte l’anatomie, on respecte la fonction, la beauté est transcendée, sans pour autant devenir un visage surfait. Il y a une petite tendance à transformer les gens en véritable poupée gonflable, c’est une mode elle passera.
Vous dites que vous opérez la clientèle locale et la clientèle internationale. Pouvez-vous nous citer des célébrités que vous avez opérées ?
Même si je garde une culture latine, de part de mes origines françaises, j’applique le secret médical et aussi la discrétion Suisse. Vous ne saurez jamais les patients qui sont opérés. Effectivement je suis chirurgien indépendant dans ma structure à Vevey mais j’opère aussi pour une des cliniques parmi les plus prestigieuses au monde. C’est une chance dans une carrière. En revanche, lorsque nous sommes au bloc, tous les gens sont identiques. Bien heureusement nous ne faisons pas de différence au niveau de l’acte médical ou chirurgical. Il est à noter en revanche que, la Suisse dispose de structures de clinique avec des chambres répondant aux critères actuels de certaines clientèles, habituée aux Palaces que malheureusement, et je le dis avec une grande tristesse, la France a perdu petit à petit.
Quels Conseils donnez-vous aux patients pour sélectionner le meilleur chirurgien pour une blépharoplastie ?
(Sourire du Dr. Smarrito)
En fait, le plus important va se dérouler lors de la consultation. Vous pouvez présélectionner quelques chirurgiens, soyez très attentifs au fait que les réseaux sociaux, voire les sites internet, ne véhiculent pas forcément des choses véridiques. Sélectionnez un chirurgien qui est local, qui vous paraît bénéficier d’une bonne réputation. Vous pouvez lire le contenu de son site internet. Il faut ensuite se rendre à la consultation, poser toutes les questions, voir ce que vous répond le chirurgien et voire s’il peut vous montrer des photos avant-après, mais pas sur les réseaux sociaux, dont Il faut se méfier. D’autant avec l’apparition de l’intelligence artificielle.
Vous évoquez l’intelligence artificielle, notamment pour la blépharoplastie, qu’en pensez-vous ?
Le progrès fait peur mais c’est le progrès. L’intelligence artificielle en médecine existe depuis toujours. Elle est déjà dans les machines, elle est dans les protocoles et je développe, à titre personnel, une application avec une star de la Silicon Valley, dans le cadre des injections d’acide hyaluronique. À mon sens, il vaut mieux participer à l’essor de l’intelligence artificielle, en tant que professionnel médical, plutôt que de laisser faire des industriels de manière isolée. L’intelligence artificielle apprend ce qu’on lui demande d’apprendre et à une tendance à recopier ou à agréger ce qu’elle trouve sur Internet. Spontanément, l’intelligence artificielle ne pourra pas innover et à l’heure actuelle en matière de chirurgie elle ne remplace pas la main humaine. Je ne sais pas en revanche dans 50 ans, entre l’essor des cellules souches et la chirurgie de haute précision associée à l’intelligence artificielle, ce que sera le métier du chirurgien qui, à l’heure actuelle, reste un métier nécessitant de grandes capacités intellectuelles mais aussi une certaine dextérité. Ne dit-on pas que les meilleurs chirurgiens ont des doigts en or ?
Docteur Smarrito
Votre chirurgien spécialiste pour la bépharoplastie à Vevey
- Spécialiste de la blépharoplastie
- Maîtrise de la blépharoplastie laser
- Maîtrise de la blépharoplastie par voie conjonctivale sans cicatrice
- Lauréat de la faculté
- Plusieurs fois major à la faculté
- Médaille des hôpitaux
- Prix du meilleur chirurgien au congrès AAA
- 20 ans d’expérience en blépharoplastie
- Brevet pour le traitement du cerne
LE MESSAGE DU DOCTEUR SMARRITO
» Il y a des bons chirurgiens dans le monde entier. La blépharoplastie en revanche demande un savoir faire pour obtenir le meilleur résualt.
Tout est une question de détail. La qualité et la sécurité de la clinique est aussi importante. Pourtant, Il vaut mieux choisir un chirurgien ayant une bonne réputation plutôt qu’une clinique si vous cherchez à être opéré par le meilleur chirurgien pour une blépharoplastie dans votre région. »